On traverse plusieurs villages (le quatorzième, le dix-neuvième, etc) pour arriver au point culminant, à 1500 m d'altitude. Là, il y a un belvédère qui surplombe un village, 600 m
plus bas : l'îlet de Grand-Bassin. Une dizaine de familles y vivent encore (contre 200 il y a un siècle), presque en autarcie. Elles ont un contact avec la plaine environ deux heures, quasiment chaque jour, par une petit téléphérique. Leur électricité provient uniquement de l'énergie solaire...
Ça laisse à réfléchir...
En tous cas, la vue est à couper le souffle ! (Et le vent glacial aussi ;-) )
Il y a à côté du belvédère une horloge hydraulique, dont le fonctionnement est proche de celui des anciennes horloges à eau égyptiennes. Curieux !
On a terminé la ballade par une boucle, toujours en voiture. A cette altitude, il n'y a plus de palmier. Les arums poussent comme de la mauvaise herbe dans les champs, les genévriers foisonnent sur le bord des routes...
On croirait presque un paysage des Pyrénées... Mais ça a parfois l'air désertique... Ah oui, et les arbres poussent tordus, dans le sens du vent !
On rencontre malgré tout des vaches au poil hirsute et des moutons, qui n'ont pas l'air de souffrir du froid !
En redescendant, on retrouve enfin le soleil, qui met en valeur les cases créoles aux toits blancs (pour l'isolation l'été ?). Il faut savoir que les cases ne sont pas isolées, n'ont pas de chauffage (juste un poêle à bois pour l'hiver) et ont le toit en tôle...
En redescendant, on retrouve enfin le soleil, qui met en valeur les cases créoles aux toits blancs (pour l'isolation l'été ?). Il faut savoir que les cases ne sont pas isolées, n'ont pas de chauffage (juste un poêle à bois pour l'hiver) et ont le toit en tôle...
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